Cette scène inoubliable est bien plus qu'une simple réplique de film ; elle représente une façon de voir le monde. C'est un défi lancé au fatalisme, à savoir que nous devons accepter un certain résultat parce qu'il en a toujours été ainsi. Non, dit Lawrence, l'histoire n'est pas encore écrite.
C’est la même chose avec la Fondation. Nous ne sommes pas encore sortis de la tempête de sable qu’est la pandémie de COVID-19 et son impact sur l’économie. Nous sommes toujours occupés à sensibiliser l’opinion, à distribuer des équipements de protection personnelle et à soutenir tous ceux qui y font directement face.
On ne sait pas quand, aux côtés de nos partenaires dans l’éradication de la polio, nous pourrons annoncer que pour seulement la deuxième fois de l’histoire une maladie a été éradiquée. On sait cependant que cela va arriver car nous y travaillons sans relâche depuis des années. La fin de cette histoire sera bientôt écrite.
Et grâce au don de 15,5 millions de dollars de la Fondation Otto & Fran Walter, nous allons également ajouter un nouveau chapitre à l’expansion des Centres du Rotary pour la paix. Des projets sont en effet en cours pour lancer un nouveau centre au Proche-Orient ou en Afrique du Nord.
Le Rotary est engagé dans tant de nobles efforts ; c'est une histoire en cours qui m'inspire encore plus que Lawrence d'Arabie. Nous ne connaissons pas encore le nom du bébé dont la vie sera sauvée grâce à une subvention du Rotary pour la santé de la mère et de l’enfant, ni celui de la jeune fille qui apprendra à lire grâce à notre soutien. Quand est-ce que ces subventions seront accordées, et serez-vous ou votre district directement impliqués ?
Rien n’est écrit. Nous écrivons notre avenir.